Description
Référence : 31484
MING WONG – La Médecine chinoise par les plantes
Collection Médecines et traitements naturels
1976, format : 165×250, 278 pages, ill. cartonné,
Avant-propos
Au cours des âges, l’homme a tenté d’imposer aux forces naturelles un ordre de plus en plus humain. Cette vérité, pour évidente qu’elle soit, est trop souvent négligée. L’historien traditionnel borne son enquête aux événements politiques et militaires nationaux en méconnaissant l’essentiel : les conquêtes techniques, intellectuelles et culturelles de l’humanité.
A l’opposé, l’Ecole chinoise actuelle s’attache à mieux connaître, à mieux comprendre l’homme dans son évolution et dans sa volonté de transformer le monde. Elle essaie d’atteindre cet objectif par les voies les plus diverses.
En ce qui nous concerne, nous avons choisi une perspective (la pharmacopée et la médecine), qui, toute limitée qu’elle soit, n’en constitue pas moins une approche des structures mentales de l’Extrême-Orient.
Envisagée dans cet esprit, la médecine chinoise par les plantes est riche d’enseignements. Rien n’est plus significatif à cet égard, que les Pen-ts’ao (Materia Medica), expression qui désigne à la fois les collections de plantes séchées et les albums illustrés de plantes médicinales. Les Pen-ts’ao (littéralement : plantes fondamentales) traduisent chez les premiers pictographes chinois une tentative de recréer le monde du réel sous la forme de caractères chinois suggérant des végétaux. L’art de préparer les médicaments nous permet de mieux comprendre les mentalités. Disons-le tout de suite : l’attirance occulte exercée par les simples n’est pas révolue, malgré l’évolution de la société chinoise actuelle, qui n’est plus celle d’hier.
Table des matières
Avant-propos
■ PREMIÈRE PARTIE : LES ÉTAPES DE LA MÉDECINE CHINOISE
Chapitre I • Des découvertes archéologiques aux États Combattants,
Chapitre II • Les TSTN et les HAN,
III. • Le Classicisme
IV. • La mode des Pen-Ts’ao
V. • La domination mongole,
VI. • Les MING et la restauration de la médecine nationale,
Chapitre VII • L’ère des compilateurs,
■ DEUXIÈME PARTIE : LES GRANDS PRINCIPES DE LA PHYTOTHÉRAPIE CHINOISE
I. Microcosme et maçrocrosme,
II. Le corps, cette totalité organique
III. Les cinq éléments,
IV. Psychologie du remède,
■ TROISIÈME PARTIE : L’OFFICINE CHINOISE
Chapitre I • La cueillette,
Chapitre II • Les parties de la plante,
Chapitre III • La préparation des drogues,
Chapitre IV • Les substances naturelles et leur administration,
Chapitre V • La moxibustion
■ QUATRIÈME PARTIE : LES PLANTES QUI GUÉRISSENT
CINQUIÈME PARTIE -: LES MAUX ET LEURS REMÈDES
I. Les affections cardio-vasculaires,
Chapitre II • Les affections de l’appareil respiratoire,
Chapitre III • Les affections de l’appareil digestif,
Chapitre IV • Les maladies de la peau,
V. Les maladies de la femme et de l’enfant,
VI. Les maladies des cinq sens,
Au cours des âges, l’homme a tenté d’imposer aux forces naturelles un ordre de plus en plus humain. Cette vérité, pour évidente qu’elle soit, est trop souvent négligée. L’historien traditionnel borne son enquête aux événements politiques et militaires nationaux en méconnaissant l’essentiel : les conquêtes techniques, intellectuelles et culturelles de l’humanité.
A l’opposé, l’Ecole chinoise actuelle s’attache à mieux connaître, à mieux comprendre l’homme dans son évolution et dans sa volonté de transformer le monde. Elle essaie d’atteindre cet objectif par les voies les plus diverses.
En ce qui nous concerne, nous avons choisi une perspective (la pharmacopée et la médecine), qui, toute limitée qu’elle soit, n’en constitue pas moins une approche des structures mentales de l’Extrême-Orient.
Envisagée dans cet esprit, la médecine chinoise par les plantes est riche d’enseignements. Rien n’est plus significatif à cet égard, que les Pen-ts’ao (Materia Medica), expression qui désigne à la fois les collections de plantes séchées et les albums illustrés de plantes médicinales. Les Pen-ts’ao (littéralement : plantes fondamentales) traduisent chez les premiers pictographes chinois une tentative de recréer le monde du réel sous la forme de caractères chinois suggérant des végétaux. L’art de préparer les médicaments nous permet de mieux comprendre les mentalités. Disons-le tout de suite : l’attirance occulte exercée par les simples n’est pas révolue, malgré l’évolution de la société chinoise actuelle, qui n’est plus celle d’hier.
Table des matières
Avant-propos
■ PREMIÈRE PARTIE : LES ÉTAPES DE LA MÉDECINE CHINOISE
Chapitre I • Des découvertes archéologiques aux États Combattants,
Chapitre II • Les TSTN et les HAN,
III. • Le Classicisme
IV. • La mode des Pen-Ts’ao
V. • La domination mongole,
VI. • Les MING et la restauration de la médecine nationale,
Chapitre VII • L’ère des compilateurs,
■ DEUXIÈME PARTIE : LES GRANDS PRINCIPES DE LA PHYTOTHÉRAPIE CHINOISE
I. Microcosme et maçrocrosme,
II. Le corps, cette totalité organique
III. Les cinq éléments,
IV. Psychologie du remède,
■ TROISIÈME PARTIE : L’OFFICINE CHINOISE
Chapitre I • La cueillette,
Chapitre II • Les parties de la plante,
Chapitre III • La préparation des drogues,
Chapitre IV • Les substances naturelles et leur administration,
Chapitre V • La moxibustion
■ QUATRIÈME PARTIE : LES PLANTES QUI GUÉRISSENT
CINQUIÈME PARTIE -: LES MAUX ET LEURS REMÈDES
I. Les affections cardio-vasculaires,
Chapitre II • Les affections de l’appareil respiratoire,
Chapitre III • Les affections de l’appareil digestif,
Chapitre IV • Les maladies de la peau,
V. Les maladies de la femme et de l’enfant,
VI. Les maladies des cinq sens,
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