Description
Référence : 31646
Barret / Gurgand / Tiévant Pierre/Jean-Nöël/Claire – Almanach de la Mémoire et des Coutumes
1980, format : 135×215, 161 pages, nb ill. broché,
« Arts et manières de jadis et les sources de nos bons usages avec plusieurs gentillesses propres à réjouir et désennuyer les esprits curieux et mélancoliques. »
On trouvera ici, sous leur forme la plus simple, un certain nombre des croyances, coutumes et principes moraux qui, au cours des siècles, ont réglé pour l’essentiel la vie des gens. Leur fonction était à la fois d’apprivoiser l’inconnu et d’assurer la cohésion de la société.
Aujourd’hui, l’Enfer n’existe plus et les hommes d’Occident cherchent de nouvelles définitions du Bien et du Mal. Il sera bientôt trop tard pour fouiller sans en rire ou en pleurer le grenier de nos mémoires. Profitons-en. Il ne s’agit pas d’aller à reculons au rendez-vous de l’an 2000, ou d’exalter des valeurs qui, comme on dit, ont fait leur temps. Mais on ne gagnerait rien à renier ce qui, au jour le jour et de pères en fils, nous a faits ce que nous sommes.
Dans nos paysages remembrés, les désherbants finissent de tuer les coquelicots. Peut-être le fallait-il.
Mais qu’au moins les enfants de nos enfants sachent qu’exista une fleur de ce nom-là, qu’elle était rouge, et qu’avant de la mettre en souvenirs, on en faisait des tisanes, des chansons et des couronnes pour l’été.
On trouvera ici, sous leur forme la plus simple, un certain nombre des croyances, coutumes et principes moraux qui, au cours des siècles, ont réglé pour l’essentiel la vie des gens. Leur fonction était à la fois d’apprivoiser l’inconnu et d’assurer la cohésion de la société.
Aujourd’hui, l’Enfer n’existe plus et les hommes d’Occident cherchent de nouvelles définitions du Bien et du Mal. Il sera bientôt trop tard pour fouiller sans en rire ou en pleurer le grenier de nos mémoires. Profitons-en. Il ne s’agit pas d’aller à reculons au rendez-vous de l’an 2000, ou d’exalter des valeurs qui, comme on dit, ont fait leur temps. Mais on ne gagnerait rien à renier ce qui, au jour le jour et de pères en fils, nous a faits ce que nous sommes.
Dans nos paysages remembrés, les désherbants finissent de tuer les coquelicots. Peut-être le fallait-il.
Mais qu’au moins les enfants de nos enfants sachent qu’exista une fleur de ce nom-là, qu’elle était rouge, et qu’avant de la mettre en souvenirs, on en faisait des tisanes, des chansons et des couronnes pour l’été.
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