Description
Référence : 31360
PLLE-LAPRUNE – De la certitude morale
Dixième édition
1928, format : 145×230, 422 pages, sans ill. broché page jaunie (en l’état)
PRÉFACE DE LA SECONDE ÉDITION
La secoude édition de ce livre est la reproduction de la première. Est-ce la peine de signaler quelques phrases légèrement modifiées, quelques références rectifiées ou complétées, l’addition de deux ou trois notes que fera reconnaître cette mention : note de la deuxième édition? Cela est insignifiant, quand le livre est d’ailleurs demeuré le même en tout : même pagination, même économie, même ensemble et mêmes détails. Je n’ai pas jugé à propos de faire de vrais changements : aujourd’hui comme en 1880, il y a dans les esprits, d’une part, une tendance positiviste et naturaliste et, d’autre part, une tendance assez difficile à définir, mais très réelle et très visible, tendance à un certain mysticisme moral et à un certain fidéisme. On se défie de la raison hors des sciences proprement dites, ….
TABLE ANALYTIQUE :
• INTRODUCTION – Ce qu’on entend par vérités de l’ordre moral. — Comment ces vérités s enchaînent entre elles. — Quatre vérités primordiales : la loi morale ; la liberté morale ; l’existence de Dieu ; la vie future. — Que la certitude, dans cet ordre de vérités, est d’une nature spéciale, et qu’on la doit nommer certitude morale. — Objet de la présente étude
• CHAPITRE PREMIER – CERTITUDE RÉELLE OU DE CHOSES ET CERTITUDE ABSTRAITE OU DE NOTIONS.
• CHAPITRE II – DU ROLE DE LA VOLONTÉ DANS LA CERTITUDE.
• CHAPITRE III – DE LA FOI MORALE
• CHAPITRE IV – DU DANGER D EXAGÉRER LE ROLE DE LA FOI MORALE.
• I. LA RAISON ET LA MÉTHODE MORALE. — PASCAL ET MAINE DE BIRAN. DES DIFFÉRENTS SENS DU MOT RAISON
• II. LA RAISON SPÉCULATIVE ET LA RAISON PRATIQUE. KANT ET F1TCIIE.
• . CONFLIT ENTRE LA CONNAISSANCE ET LA CROYANCE.HAMILTON ET MANSEL.•
IV. — LA CROYANCE CONSIDÉRÉE COMME FONDEMENT DE TOUTl’ordre INTELLECTUEL.•
CHAPITRE V – DES DIVERSES MANIÈRES DE DÉPRÉCIER LA FOI MORALE.•
I. LE DEMI-SCEPTICISME. — LA CERTITUDE MORALE ET LA PROBABILITÉ.•
II. l’inconnaissable, objet de la croyance.•
III. LE POSITIVISME. — LA FOI MORALE DÉCLARÉE UNE ILLUSION.•
CHAPITRE VI – DE LA CERTITUDE MORALE DANS L’ÉCOLE CRITIQUE.•
CHAPITRE VII – DE LA VALEUR DE LA CERTITUDE MORALE.•
I. COMMENT LES DISPOSITIONS REQUISES POUR RECONNAITRE LA VÉRITÉ, NE METTENT POINT LA VÉRITÉ DANS NOTRE DÉPENDANCE.•
. DE LA BONNE VOLONTÉ. — COMMENT ELLE PRÉVIENT,CORRIGE OU EXCUSE L’ERREUR.
La secoude édition de ce livre est la reproduction de la première. Est-ce la peine de signaler quelques phrases légèrement modifiées, quelques références rectifiées ou complétées, l’addition de deux ou trois notes que fera reconnaître cette mention : note de la deuxième édition? Cela est insignifiant, quand le livre est d’ailleurs demeuré le même en tout : même pagination, même économie, même ensemble et mêmes détails. Je n’ai pas jugé à propos de faire de vrais changements : aujourd’hui comme en 1880, il y a dans les esprits, d’une part, une tendance positiviste et naturaliste et, d’autre part, une tendance assez difficile à définir, mais très réelle et très visible, tendance à un certain mysticisme moral et à un certain fidéisme. On se défie de la raison hors des sciences proprement dites, ….
TABLE ANALYTIQUE :
• INTRODUCTION – Ce qu’on entend par vérités de l’ordre moral. — Comment ces vérités s enchaînent entre elles. — Quatre vérités primordiales : la loi morale ; la liberté morale ; l’existence de Dieu ; la vie future. — Que la certitude, dans cet ordre de vérités, est d’une nature spéciale, et qu’on la doit nommer certitude morale. — Objet de la présente étude
• CHAPITRE PREMIER – CERTITUDE RÉELLE OU DE CHOSES ET CERTITUDE ABSTRAITE OU DE NOTIONS.
• CHAPITRE II – DU ROLE DE LA VOLONTÉ DANS LA CERTITUDE.
• CHAPITRE III – DE LA FOI MORALE
• CHAPITRE IV – DU DANGER D EXAGÉRER LE ROLE DE LA FOI MORALE.
• I. LA RAISON ET LA MÉTHODE MORALE. — PASCAL ET MAINE DE BIRAN. DES DIFFÉRENTS SENS DU MOT RAISON
• II. LA RAISON SPÉCULATIVE ET LA RAISON PRATIQUE. KANT ET F1TCIIE.
• . CONFLIT ENTRE LA CONNAISSANCE ET LA CROYANCE.HAMILTON ET MANSEL.•
IV. — LA CROYANCE CONSIDÉRÉE COMME FONDEMENT DE TOUTl’ordre INTELLECTUEL.•
CHAPITRE V – DES DIVERSES MANIÈRES DE DÉPRÉCIER LA FOI MORALE.•
I. LE DEMI-SCEPTICISME. — LA CERTITUDE MORALE ET LA PROBABILITÉ.•
II. l’inconnaissable, objet de la croyance.•
III. LE POSITIVISME. — LA FOI MORALE DÉCLARÉE UNE ILLUSION.•
CHAPITRE VI – DE LA CERTITUDE MORALE DANS L’ÉCOLE CRITIQUE.•
CHAPITRE VII – DE LA VALEUR DE LA CERTITUDE MORALE.•
I. COMMENT LES DISPOSITIONS REQUISES POUR RECONNAITRE LA VÉRITÉ, NE METTENT POINT LA VÉRITÉ DANS NOTRE DÉPENDANCE.•
. DE LA BONNE VOLONTÉ. — COMMENT ELLE PRÉVIENT,CORRIGE OU EXCUSE L’ERREUR.
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