Description
Référence : 31947
Enel – PREMIERS PAS EN RADIESTHESIE THÉRAPEUTIQUE
1958, format : 140×190, 112 pages, 13 illustration[s].broché, bon état
INTRODUCTION
• Je n’ai pas la prétention d’écrire un traité sur la Radiesthésie. Le but de ce petit livre est de présenter un manuel concis et simple qui puisse être utile à ceux qui voudraient pratiquer le traitement par les couleurs. Je tâcherai donc d’éviter autant que possible les explications trop scientifiques qui n’intéressent pas tout le monde et qui m’obligeraient à approfondir des questions purement théoriques. Celui qui voudrait étudier la théorie de la Radiesthésie trouvera une liste d’un grand nombre de bons ouvrages à la fin de ce livre. Mon but est de présenter au débutant des méthodes très simples au moyen desquelles il pourra développer scs aptitudes de radiesthésiste et dont l’application lui permettra d’équilibrer sa propre santé et celle de ses proches. Il deviendra son propre « médecin familial » et pourra réaliser d’appréciables économies sur les remèdes et traitements. En outre, cela lui permettra de savoir au juste si le remède prescrit est efficace ou non.
• Un des malheurs de notre époque consiste dans la généralisation des remèdes. Il existe des spécialités pour toutes les maladies, mais sont-elles toujours efficaces et donnent-elles les résultats dont se vantent les réclames tapageuses ? J’en doute. La médecine contemporaine semble avoir oublié ce que disaient les anciens : « Il n’y a pas de maladies, mais seulement des malades ».
• Chaque patient a ses propres particularités ; ainsi un médicament qui peut être bon pour l’un, peut ne pas l’être pour l’autre. Le bon médecin doit d’abord étudier la nature de son malade et lui prescrire ensuite le traitement approprié.
• J’ai connu un médecin qui, appelé au chevet d’un malade dont il n’arrivait pas à déterminer la nature du mal, prescrivait des choses inoffensives telles que le bicarbonate de soude ou même de l’eau sucrée dissimulée sous un nom latin. Il le faisait pour gagner du temps et mieux pouvoir se rendre compte de l’évolution de la maladie, et en même temps ne pas perdre la confiance du malade. S’il eût honnêtement avoué qu’il n’arrivait pas à connaître son mal, il aurait aggravé la maladie en faisant croire au malade que son état était tellement grave que même le médecin était impuissant à le secourir. L’état psychologique d’un malade est extrêmement important, et un bon médecin doit être aussi un bon psychologue et savoir inspirer confiance au malade.
TABLE DES MATIERES
• Introduction • Chapitre 1. Un peu de théorie • Chapitre 2. L’homme, parfait appareil de T..S.F. • 3. Le pendule universel • 4. Le diagnostic • 5. Les couleurs • 6. Le traitement • Chapitre 7. Autres méthodes de traitement …. • Chapitre 8. Les microbes • Conclusion • Bibliographie
• Je n’ai pas la prétention d’écrire un traité sur la Radiesthésie. Le but de ce petit livre est de présenter un manuel concis et simple qui puisse être utile à ceux qui voudraient pratiquer le traitement par les couleurs. Je tâcherai donc d’éviter autant que possible les explications trop scientifiques qui n’intéressent pas tout le monde et qui m’obligeraient à approfondir des questions purement théoriques. Celui qui voudrait étudier la théorie de la Radiesthésie trouvera une liste d’un grand nombre de bons ouvrages à la fin de ce livre. Mon but est de présenter au débutant des méthodes très simples au moyen desquelles il pourra développer scs aptitudes de radiesthésiste et dont l’application lui permettra d’équilibrer sa propre santé et celle de ses proches. Il deviendra son propre « médecin familial » et pourra réaliser d’appréciables économies sur les remèdes et traitements. En outre, cela lui permettra de savoir au juste si le remède prescrit est efficace ou non.
• Un des malheurs de notre époque consiste dans la généralisation des remèdes. Il existe des spécialités pour toutes les maladies, mais sont-elles toujours efficaces et donnent-elles les résultats dont se vantent les réclames tapageuses ? J’en doute. La médecine contemporaine semble avoir oublié ce que disaient les anciens : « Il n’y a pas de maladies, mais seulement des malades ».
• Chaque patient a ses propres particularités ; ainsi un médicament qui peut être bon pour l’un, peut ne pas l’être pour l’autre. Le bon médecin doit d’abord étudier la nature de son malade et lui prescrire ensuite le traitement approprié.
• J’ai connu un médecin qui, appelé au chevet d’un malade dont il n’arrivait pas à déterminer la nature du mal, prescrivait des choses inoffensives telles que le bicarbonate de soude ou même de l’eau sucrée dissimulée sous un nom latin. Il le faisait pour gagner du temps et mieux pouvoir se rendre compte de l’évolution de la maladie, et en même temps ne pas perdre la confiance du malade. S’il eût honnêtement avoué qu’il n’arrivait pas à connaître son mal, il aurait aggravé la maladie en faisant croire au malade que son état était tellement grave que même le médecin était impuissant à le secourir. L’état psychologique d’un malade est extrêmement important, et un bon médecin doit être aussi un bon psychologue et savoir inspirer confiance au malade.
TABLE DES MATIERES
• Introduction • Chapitre 1. Un peu de théorie • Chapitre 2. L’homme, parfait appareil de T..S.F. • 3. Le pendule universel • 4. Le diagnostic • 5. Les couleurs • 6. Le traitement • Chapitre 7. Autres méthodes de traitement …. • Chapitre 8. Les microbes • Conclusion • Bibliographie
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