Description
Référence : 31311
VICOMTESSE DE POLI née CHOISEUL GOUFFIER – RUCHE JEANNE D’ARC
1889, format : 140×225, 12 + doc pages, gravures folio ill. broché
VICOMTESSE DE POLI née CHOISEUL GOUFFIER
RUCHE JEANNE D’ARC
La France chiffre annuellement par quinze à vingt millions de francs ses produits en miel, cire, propolis, essaims, provenant d’environ deux millions de ruches.
L’apiculture est une branche considérable de l’agriculture, celle dont le rapport est le plus rémunérateur, sans capitaux bien importants, pour peu que cette industrie soit installée dans une contrée pourvue de fleurs mellifères, fussent-elles à quatre kilomètres des ruches, et qu’elle soit conduite avec intelligence, sans fausse économie.
Les bénéfices consistent autant dans la plus-value bien constatée des récoltes fruitières et des céréales résultant de la fécondation plus régulière des fleurs, grâce aux abeilles qui portent au loin le pollen, que dans le revenu direct déjà fort avantageux ; sans compter le couvain que les chasseurs, éleveurs de faisans, distribuent, dans les mois de juin et de juillet, à leurs élèves pour les sauver de la diphtérie.
Bien des systèmes de ruches ont été créés suivant les principes de l’une ou l’autre des écoles qui divisent les apiculteurs en deux camps ennemis : mais tous, à cause du parti-pris qui a guidé les inventeurs, sont incomplets et peu pratiques.
RUCHE JEANNE D’ARC
La France chiffre annuellement par quinze à vingt millions de francs ses produits en miel, cire, propolis, essaims, provenant d’environ deux millions de ruches.
L’apiculture est une branche considérable de l’agriculture, celle dont le rapport est le plus rémunérateur, sans capitaux bien importants, pour peu que cette industrie soit installée dans une contrée pourvue de fleurs mellifères, fussent-elles à quatre kilomètres des ruches, et qu’elle soit conduite avec intelligence, sans fausse économie.
Les bénéfices consistent autant dans la plus-value bien constatée des récoltes fruitières et des céréales résultant de la fécondation plus régulière des fleurs, grâce aux abeilles qui portent au loin le pollen, que dans le revenu direct déjà fort avantageux ; sans compter le couvain que les chasseurs, éleveurs de faisans, distribuent, dans les mois de juin et de juillet, à leurs élèves pour les sauver de la diphtérie.
Bien des systèmes de ruches ont été créés suivant les principes de l’une ou l’autre des écoles qui divisent les apiculteurs en deux camps ennemis : mais tous, à cause du parti-pris qui a guidé les inventeurs, sont incomplets et peu pratiques.
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