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La Fête de l’Être Suprême à BRIE-COMTE-ROBERT

8,00

Référence : 30368
La Fête de l’Être Suprême à BRIE-COMTE-ROBERT

par Tiré à part
1902, format : 150x220mm, 12 pages, sans illustrations, débroché (en l’état)

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Référence : 30368

Tiré à part – La Fête de l’Être Suprême à BRIE-COMTE-ROBERT

1902, format : 150×220, 12 pages, sans ill. débroché (en l’état)

La Fête de l’Être Suprême à BRIE-COMTE-ROBERT (20 Prairial – 8 Juin)
La mort de Danton avait marqué l’apogée de la fortune de Robespierre : le petit avocat d’Arras devenait le chef incontesté de la République, il voit le moment où la France abdiquera : il sera le maître, le maître absolu . . . et par le seul ascendant du génie et de la vertu. Couthon et Saint-Just seront les amis du grand homme . . . les premiers . . . après lui.
Robespierre a voulu l’empire pour neutraliser la Révolution : il a voulu être le maître de la France pour en faire le soldat de l’idée religieuse qui le remplissait lui-même.
Il n’y a rien chez lui du scepticisme voltairien des constituants qui s’accommodaient d’un Té Deum de Talleyrand. — il n’y a rien chez lui du matérialisme empire d’Hébert et de Chaumette. — il y a dans Robespierre un croyant à une foi nouvelle, un apôtre . . . n’a t’on pas pu aller jusqu’à dire . . . un martyr ! ! ! ?
Robespierre est un croyant. Sa foi, c’est celle de Rousseau, c’est la religion du  » Vicaire Savoyard « , c’est la croyance en Dieu et en l’âme immortelle…

Poids 25 g
Dimensions 150 × 220 mm

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